Premier contact avec l'Armée.
Anarion 10/07 à 15:44
Bien tranquil dans le pub, Ana' avisa un gros nain au comptoir. Il était en compagnie d'un elfe bizarre. Une grande Dame d'un genre bourgeoise, à l'aspect douteux fit son entrée. Le shaamah a bien rigolé de les voir s'incliner les uns devant les autres. Enfin, le nain avait plus d'intérêt que le reste, sa grosse bourse pendait à sa ceinture.
Le Shaamah se dirigea vers le comptoir, et demanda avec entrain une tournée générale, sans payer bien entendu ! Il échangea quelques paroles avec le nain dégénéré, puis fit semblant d'être sous l'effet de l'alcool. C'est avec une ruse inimitable qu'il s'exclama :
" Oh, votre copine vous appel !"
En désignant la femme, qui apparemment était sa supérieure. Les deux énergumènes tournèrent la tête d'un seul mouvement, et le nain se vit allégé de son or. Anarion sortit en vitesse de la taverne, et se mit en joie de compter son trésor nouvellement acquis.
C'est là que le gros nain choisit son moment pour le poursuivre. Après une cavalcade dans les rues, Anarion fut coincé dans une impasse, et se fit voler son or volé. Le nain le sermonant avec des paroles incompréhensibles. Il s'appelait Balgrim si on en croit ce que les autres disent...
Un peu plus tard dans la journée, Ana' déambulait en maugréant contre le sort, lorsqu'il retomba sur le nain et sa supérieur. Elmina qu'elle s'appelait la bourgeoise... Le shaamah se tapi derrière un coin de mur et écouta. Un troisième fit son apparition. Tyroine, drôle de prénom, encore un drôle de bonhomme. Apparemment cette ville en était remplie. Le nouveau venu décidé donc de foncer sans réfléchir dans le Shaamah, au moment ou celui-ci réfléchissait. Il le heurta de plein fouet. Anarion se retrouva sur l'arrière train, la tête douloureusement lancée par le choc. Il réclama des excuses, et le Tyrmachin, prétextant ne pas aimer les chats, le prit par la peau du cou et l'envoya valdinguer en plein vers la bougeoise et son gros nain. Ana' s'étala lamentablement sur le sol, et se sentit une nouvelle fois prit par le cou. La bourgeoise l'avait livré au nain, qui se répandit en réprimandes, parlant de délits mineurs, probablement une note de musique, et écrivait son nom sur un bout de papier.
Sur ce il le laissa partir, et le shaamah détala vers le pub, en se demandant ce qu'il allait bien pouvoir voler dorénavant...
