Histoire de Guerre-Chapitre 1 (Noctarius[Royal*Junior])

Histoire de Guerre-Chapitre 1
Noctarius 08/07 à 19:07





(Une nouvelle série que je viens d'imaginer. N'ayez crainte... les horreurs de la guerre viendrons après...
toujours de plus en plus sombre, de plus en plus diabolique...
de Noctarius Cold, Le Corrompu)

Mon nom est Kardan. Kardan Sangnoir.
Ce nom me fut acquis pendant la troisième gue...
Je m'oublis. Mon nom est donc Kardan, je suis né au sud de Joanès, une petite ville dans le désert profond. Nous étions à quelques heures de la grande Vanguard, la ville du Chaos. Je suis né d'un père fermier et d'une mère sage-femme.
Leurs noms? Aucune idée. Je ne me rappelle que certains souvenirs, flous. La force de mon père... son sourire... mais c'était il y a si longtemps. Ils sont morts quand j'ais eu 6 ans.
Des bandits du désert... ce n'est pas rare. C'est une mort habituelle en ce lieux ou la vie vaut moins qu'un chien... surtout si il chasse bien. Les Troupes Impériales Vanguarienne est arrivées après le massacre. Un seul survivant. Vous pouvez imaginez qui...
Ils ont fait la démarche habituelle en ces cas de tueries: Ont pille ce qui reste.
Le capitaine de cette division était
Le Capitaine Salmak. C'est lui qui m'a retrouvé.
C'est lui qui m'a pris sous son aile pendant deux mois pour ensuite m'envoyer à l'Ecole.
L'Ecole, c'est l'Ecole de Guerre de l'Elite Impériale Vanguardienne.
C'est là que commence tout.
C'est là que j'ais appris à utiliser mon don.


L’Ecole est une sorte de forteresse aux frontières de l’Empire Vanguardien.
J’ai eu une formation simple durant 7 années. Mais, quel que soit le degré d’effort que je maintienne, la paix ne revenait pas. Jusqu’à ma cinquième année. C’était une sorte de "test".C’était du combat à l’épée. Habituel. Mais pas ce jour là… pas cette fois…
Les épées n’étaient pas émoussées. Le corps a compris bien avant l’esprit. J’étais le premier sur la liste. J’ai du combattre trois fois… et trois fois je me suis senti mieux.
La facilitée devant l’adversaire… quand le corps devient une arme… J’ai toujours su une chose : Je n’aurais pas du gagner. Ils étaient aussi bien entraînés que moi, aussi fort.
Mais il y avait quelque chose en moi… quelque chose que je ne comprenais pas.
Comme un monstre…froid. Dur. Cruel et sans pitié.
Ce jour là, j’ais compris que j’étais fait pour ça.
Certains hommes naissent pour l’art, d’autres pour la terre… Et d’autres encore deviennent marins, ou même mercenaire.
Mais moi j’étais fait pour tuer. Rien d’autre. La mort à l’état pure, sans autres sentiments.
Et le futur a prouvé que c’était vrai.

Après l’acte, l’ont m’a dit que la vision de ce combat…était presque magique... Que l’ont y voyait une grâce… une rapidité et efficacité incroyable… Que tuer avait l’air pour moi aussi naturel que pour un aigle voler…
Je ne les écoutais pas. Je continuais mon chemin, sans aucune émotion. J’avais encore du sang sur moi… sur mes mains… mais je ne ressentais rien. Ce n’était pas moi, c’était…autre chose.
Ensuite, les cours ont changés. Certains d’entre nous, parmis les plus doués, ont du apprendre un art bien plus controversé. Nous travaillions avec des prisonniers de guerres.
Nous devions découvrir leurs secrets… leurs talons d’Achille… Et ensuite, les exécutez… Cela a duré 1 ans… et la bête en moi n’avait jamais été…aussi proche…constamment…

Après, j’ais eu une dernière année de formation. Le combat tactique, la stratégie… mais surtout, le Raid. Une sorte de " test ". Notre compagnie d’étudiants devait porter une attaque dans un village ennemie. Nous étions 42 élèves et 7 soldats de recrutements des différentes légions impériales. Ils étaient là pour nous jaugés… Voir notre talent…
Ce fut un massacre, mon premier massacre. Pour la première fois, je portais une armure à la bataille. Je sentais que le monstre était là. Devant mon regard, mes camarades s’écartaient, apeurés… Ma voix se fit plus dure, plus puissante… Sans m’en rendre compte je dirigeais l’attaque. C’était un petit village, habité par des gens comme ma défunte famille… mais j’ordonnais l’assaut sans sourciller. Nous les encerclions et les éliminions un à un. Après la bataille, l’ont me dit que j’était à la première ligne de front, que j’avais fait un massacre, que j’avais été d’un courage exemplaire… Je les fixais de mon regard, sans rien dire.
269. C’est le nombre de personnes dans le village qui fut attaqué. Tous mort, jusqu’au dernier. J’eu une mention d’honneur pour ça…
Et, surtout, je devins légionnaire.
Je devins un membre de la 13eme Légion Impériale Vangardienne
La légion de la mort.

(Donnez moi donc vois impressions! Les remarques constructives me font toujours plaisir... *Sort un baton de baseball*)